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Centre chiropratique Le Bugue

1.

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  La chiropraxie, en tant que profession, existe depuis environ 120 ans. Mais les principes sur lesquels elle est basée ne sont pas nouveaux. En réalité, les anciens Grecs et d’autres anciennes civilisations utilisaient les ajustements vertébraux comme une forme de soins. 

  Hippocrate, le père de la médecine occidentale disait que « la structure physique est la base de la médecine » et a détaillé avec beaucoup de détails l’importance de la colonne vertébrale pour être en bonne santé.

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3.

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  Quand un segment vertébral ne bouge pas de façon correcte, les chiropracteurs appellent cela une subluxation vertébrale.

  Il apparait en fait que ce phénomène influence comment le cerveau perçoit et répond à toutes les autres informations sensorielles. *7

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5.

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  Ce qui est vraiment fascinant, c’est que lorsque la colonne vertébrale ne travaille pas correctement cela peut influencer non seulement comment le cerveau contrôle la colonne, mais également comment le cerveau « voit » ce qui se passe dans vos bras et vos jambes. Donc cela veut dire que la chiropratique peut vous rendre moins maladroit !

  Plusieurs études ont montré que votre cerveau devient plus précis dans sa conscience d’où sont vos bras et vos jambes même avec les yeux fermés ! *12,13

  Ce qui est vraiment bien c’est que la chiropraxie peut donc non seulement faire mieux fonctionner votre colonne vertébrale *14-19, mais elle améliore également la coordination dans vos bras et vos jambes.*12,13

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7.

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  La chiropraxie a même montré qu’elle pouvait aider à diminuer les pleurs liés aux coliques chez les bébés. Dans une étude randomisée contrôlée qui étudiait les effets de 10 jours de prise en charge chiropratique sur le temps de pleurs chez des nouveaux nés atteints de coliques, les petits qui avaient reçu des soins chiropratiques pleuraient significativement moins que ceux du groupe contrôle (qui n’avaient reçu aucun soin particulier). *20

Leur temps de pleurs avait diminué de moitié : ceux ayant reçu des soins chiropratiques pleurait en moyenne 1h30 de moins après 10 jours que ceux qui n’avaient pas reçu de soins. De multiples autres études randomisées contrôlées ont montré ces effets. *21-23 Les parents dont les petits souffrent de coliques devraient peut-être tenter le coup avec la chiropraxie car cela pourrait faire une réelle différence pour leur bébé et leur famille.

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9.

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  Une étude a même montré que la chiropraxie peut vous rendre plus fort !*26 Et la chose incroyable, c'est que les changements au niveau du système nerveux central montré dans cette étude sont très similaires à ce qui avait été montré précédemment après 3 semaines d’entraînement physiques, *27 indiquant que la chiropraxie entraîne des changements puissants au niveau du cerveau et de la moelle épinière.

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Références:

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2.

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  Curieusement, les chiropracteurs n’ajustent et ne travaillent pas des parties de votre colonne au hasard ! Si vous avez déjà été chez un chiropracteur, vous aurez noté qu’ils touchent et sentent votre colonne, la bougent, … Peut-être ont-ils testé vos muscles pour voir à quel point ils étaient forts, pressé certains endroits de votre colonne pour voir si elle était plus sensible au niveau de points particuliers, et ainsi de suite.

  Au final, ils choisissent très attentivement un segment vertébral spécifique à ajuster. Les endroits que les chiropracteurs choisissent d’ajuster auront souvent une contraction musculaire correspondante et une sensibilité à la pression. *1,2  L’articulation, elle, aura un mouvement anormal.*3,4

  Ces anormalités, parmi d’autres, indiquent la présence de ce que les chiropracteurs appellent une subluxation vertébrale. *5,6

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4.

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  On pense que votre cerveau ne peut pas « voir » ce qu’il se passe dans votre colonne vertébrale quand les vertèbres ne bougent pas correctement. En effet dans ce cas, les petits muscles les plus proches de votre colonne ne vont pas bouger si bien que ça. Or ceux sont les « yeux » de votre cerveau car ils possèdent des tas de capteurs de mouvements (mécanorécepteurs et propriocepteurs). *8-11

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6.

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  Douze semaines de chiropraxie vous aident même à vous sentir mieux physiquement ! Une étude a montré que 3 mois de soins chiropratiques ont amélioré chez leur participants les éléments de qualité de vie reliés à la santé comparés à un groupe contrôle.*13

  Il a été aussi démontré une amélioration sur la fonction sensori-motrice liée aux risques de chutes chez les personnes âgées. Cela voudrait dire que la chiropraxie pourrait aider à réduire les risques de chutes.

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8.

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  De retour à propos du cerveau, plusieurs études ont montré que la prise en charge chiropratique change la façon dont le cerveau envoie des messages à vos muscles.*24,25 Toutes ces recherches semblent indiquer que la chiropraxie améliore la communication entre votre cerveau et votre corps. Cela aide donc votre cerveau à être plus conscient de ce qu’il se passe dans le corps de manière à mieux le contrôler.

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10.

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  Récemment une étude s’intéressant aux effets de la chiropraxie sur le cerveau a trouvé que les gros changements apparaissant quand un chiropracteur ajuste les segments vertébraux dysfonctionnels, ont lieu dans une partie du cerveau appelé le cortex préfrontal. *28

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inspiré des travaux de Heidi Haavik, DC, PhD

*1.Degenhardt et al. J Am Osteopath Assoc. 2005 ;105(10) :465-473.

*2.Schneider et al. JMPT. Jul-Aug 2008 ;31(6) :465-473.

*3. Cooperstein et al. J Can Chiropr Assoc. Jun 2013 ;57(2) :156-164.

*4. Cooperstein et al. Journal of Chiropractic Medicine. 2010 ;9(3) :99-106.

*5. Henderson. J Electromyogr Kinesiol. 2012 ;22(5) :632-642.

*6. Owens E. J Can Chiro Assoc. 2002 ;46(4) :215-220.

*7. Haavik & Murphy. J Electromyogr Kinesiol. October 2012. 2012 ;22(5) :768-776.

*8. Boyd-Clark et al. SPINE 2002 ;27(7) :694-701.

*9. Kulkarni et al. Neurol India. 2001 ;49 :335-359.

*10. Cooper et Daniel. Brain. 1963 ;86 :563-594.

*11. Amonoo-Kuofi. J Anat 1983 ;136(3) :509-519.

*12. Haavik & Murphy. JMPT. 20011 ;34 :88-97.

*13. Holt et al. JMPT. 2016 ;39(4) :267-278.

*14. Martinez-Segura et al. JMPT. Sep 2006 ;29(7) :511-517.

*15. Nansel et al. JMPT. 1991 ;14(8) :450-456.

*16. Nansel et al. JMPT. Feb 1992 ;15(2) :99-105.

*17. Schiller. JMPT. 2001 ;24(4) :260-271.

*18. Wood et al. JMPT. May 2001 ;24(4) :260-271.

*19.Yeomans. JMPT. Feb 1992 ; 15(2) : 106-114.

*20. Miller et al. JMPT. 2012 ;35(8) :600-607.

*21. Wiberg et al. JMPT. 1999 ; 22(8) :517-522.

*22. Hayden & Mullinger. Complement Ther Clin Pract. May 2006 ; 12(2) :83-90

*23. Olafsdottir et al. Arch Dis Child. Feb 2001 ; 84(2) :138-141.

*24. Haavik-Taylor & Murphy. Chiro J Australia. 2007 ; 37 :106-116.

*25. Haavik-Taylor & Murphy. JMPT. 2008 ;31(2) :115-126

*26. Niazi et al. Exp Brain Res. 2015 ;233 :1165-1173.

*27. Vila-Chã et al. J App Phys. 2012 ;112(1) :54-63.

*28. Lelic et al. Neural Plasticity 2016 :3704964

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